La pauvre tondeuse sur le dos, les 4 roues en l'air.
Ces écrans géants installés dans les tribunes en lieu et la place des spectateurs portent le nom de “ fan cams ” mais on pourrait aussi les appeler des “ fake fans ”.
Le bon journaliste comme le bon sportif doit pouvoir reconnaître ses fautes. Nous faisons donc notre acte de contrition en constatant la publication d’une fake new dans notre édition du mois d’août. Elle annonçait à tort que l’année 2020 serait privée de Tour de France. En fait, seul le mois de juillet passa son tour lequel eut lieu pour la première fois de l’histoire en septembre. Voilà qui est dit. Mais il faut aussi reconnaître qu’aujourd’hui on vit une sorte de “.fake génération.”, une salle manie qui gagne aussi le monde du sport comme nous l’avons déjà signalé avec les supporters de football en carton.
Ce mois-ci, c’est au tour de l’.US Open de tennis de nous montrer ses prouesses en matière de faux-semblants. Privé de public pour cause de Covid, le tournoi américain pouvait se vanter de ses écrans géants installés dans les gradins, affichant des visages de fans avec en prime, le son des applaudissements. Il est vrai que c’est la patrie de Donald Trump, le roi de la fake et qu’on arrête pas le progrès ni son complice: l’artifice.
Tennis: les fake fans de l'US Open (et pardon pour les anglicismes)
SPORTS
PANDÉMIE
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Cliquer sur le triangle pour savourer le record du 15 septembre...
Très étonnant ce sourire pour présenter une catastrophe.
Ce n’est pas tous les jours qu’on vous présente deux météos dans la même édition. Mais il faut savoir changer ses habitudes, c'est le prix à payer pour sortir de l'ignorance.
 
Les inconditionnels de la météo télévisée, auront-ils apprécié à sa juste valeur la performance de la présentatrice au soir du 23 septembre sur le coup de 19h25? Cette sémillante personne, après nous avoir commenté les traditionnelles et prévisionnelles cartes du ciel belge pour les jours à venir, dut nous parler d’une tempête dévastatrice à Altamura en Italie. Ce n’est pas tant la tempête qui était surprenante, puisque ce type de phénomène tend à se banaliser, mais bien le sourire immuable de la dame qui nous présentait le sujet, et ce, malgré la gravité catastrophique des images.
C’est dans ce genre de circonstances qu’on se demande si ce qu’on voit est bien réel, si la personne que nous avons devant les yeux n’est pas un droide au cœur d’acier et si l’intelligence parfaitement artificielle qu’on nous annonce pour demain n’est pas déjà parmi nous…
Une météo irréelle à la RTBF
On se demande vraiment quelle est la logique qui préside aux décisions du CNS, le Comité National des Surprises. Dans un article du mois d’août (1) nous avions déjà noté qu’au plus fort de l’épidémie, le gouvernement décrétait que le masque n’était pas indispensable alors qu’au plus bas des contaminations, il le rendait obligatoire.
Le 27 juillet, lors d’une légère recrudescence (± 280 cas), de nouvelles mesures plus contraignantes entraient en application: bulle des 5, masque obligatoire en rue sur décret des bourgmestres et  interdiction de voyager dans les pays rouges comme au plus plus belle heures du bloc soviétique.
Et puis coup de théâtre, le 23 septembre, alors que l’épidémie s'envole avec 1.350 contaminations journalières, le CNS sonne la fin de la bulle des 5, du masque en rue, autorise les voyages en zone rouge, et ramène la quatorzaine à 7 jours. Ces décisions prises systématiquement à contre courant interpellent.
C’est à se taper la tête au mur, ce qui pourrait aussi conduire en urgence le pauvre citoyen vers les services hospitaliers déjà surchargés. Le CNS qui, de son côté ne cesse de se casser la tête pour notre santé, ferait quand même bien de réfléchir un peu.
 
NDLR.
Selon les responsables, ministres et experts, les mesures sanitaires ont été adoucies parce que la populace, un peu lasse, ne les respectait plus et qu’il vaut mieux des mesures plus souples suivies à 80% que des règles plus contraignantes suivies à 30%.
C’est une drôle de gestion de crise. Imagine-t-on un instant que dans les années 80 les autorités aient lâché la bride aux conducteurs en autorisant le 150 km/h parce que le 120 km/h n’était pas bien respecté.? Idem pour le port de la ceinture et l’alcool au volant.? Pourtant, il s’agit là aussi de sécurité et de sauver des vies. Alors, sauf à considérer que les mesures précédentes étaient totalement inefficaces à quoi rime ce grand laisser-aller, ce poncepilatisme qui n'ose pas dire son nom?
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(1) Source: Li Monde
Le CNS du 23 septembre
Voir le clip source: POSITIVR
Non, ce n’est pas le James Bond de 1963 avec Sean Connery mais bien une connerie de clip produit par le gouvernement français en 2020 pour sensibiliser le petit peuple insouciant aux dangers du Covid-19.
En deux mots, on montre ce qu’il ne faut pas faire, comme souvent, c'est la pédagogie par le malheur. Au début, une famille fête l’anniversaire de la maman entourée de tous ses proches sans oublier les bougies et les traditionnelles embrassades de circonstance qui font naturellement fit de la distance asociale et des gestes barrière.
Et puis, images suivantes, on retrouve la maman allongée en réanimation, aux petits soins intensifs. C’est dur, très dur mais on se demande quand même si la peur de l’hôpital et du médecin en blouse verte fonctionne vraiment comme celle du combi et du gendarme en uniforme.
Bons baisers de réa
MÉDIA
Des vols pour nulle part, c'est complètement nul.
Source 1: Le Soir
 
Source 2: La Libre
Dans notre édition précédente, nous évoquions l’ineptie comportementale de la compagnie aérienne Taiwan Air; alias Suicid Air, qui propose des vols inutiles pour nulle part à des clients en mal de l’air.
Nous apprenons ce mois-ci que cette pratique inquiétante se répand plus vite que le Covid et que de nombreuses compagnies sont contaminées par ce nouveau virus. On savait que l’infection se communique par les airs mais quand même. Ajoutez à cela l’offre de Ryanair, qui n'en rate pas une en vendant des billets au prix de 5.€, et vous aurez compris qu’on est pas sorti d’enfer, ni du réchauffement climatique et encore moins de la propagation de la bêtise dont aurait tort de sous-estimer l’impact sur la santé et le devenir du monde.
Suicid Air, suite
Philippe Goffin, le ministre de Affaires étranges.
Vous aurez remarqué que dans le gouvernement en affaires courantes qui survit bien au-delà de la mort cérébrale, existe un ministère où il se passe des choses surnaturelles. C’est celui des Affaires étranges. Le ministre n'est autre que Philippe Goffin, le Harry Potter du gouvernement, également en charge de la Défonce Nationale. il est responsable des couleurs qui autorisent, déconseillent ou interdisent de se rendre dans telle ou telle région. Grâce à ses pouvoirs magiques, il peut changer le sort des pays. Au début, tout était clair comme pour les feux de signalisation où le rouge est synonyme d’interdiction pure et simple. Mais depuis le 21 septembre, cette couleur n’est plus qu’une mise en garde déconseillée...
Bonjour l’embrouille.
Si le rouge équivaut à l’orange, on se reportera aux carrefours de nos routes pour imaginer l'impact sur la sécurité. Voilà encore un sortilège digne de Poudlard, l’école des apprentis sorciers.
Le ministère des Affaires étranges
Depuis longtemps déjà, dans le jardin d’en face, une tondeuse robotisée s’évertuait à couper l’herbe de façon aléatoire, c’est-à-dire en se cognant sans cesse la tête ou l’avant train pour repartir dans la direction inverse et poursuivre inlassablement sa tâche sisyphéenne.
Bien sûr, autrefois, cette corvée était assumée par de vaillants humains mais le fait qu’ils s’en soient débarrassé en reportant sa turpitude sur une pauvre machine ne doit pas nous enlever la touche d’humanité dont nous sommes encore capables. Souvenons-nous de ce film “.I Robot.” où même les machines finissent par ne plus accepter, à juste titre, le sort insupportable qu’on leur inflige.
 
Or, pour en revenir à notre objet et sujet, en date du 21 septembre, dans l’après midi, la tondeuse a soudainement cessé de bouger. Elle s’est arrêtée net comme on tombe mort. Avait-elle rendu l’âme, enfin le moteur, ou avait-elle décidé d’entreprendre une grève sauvage sur le tas composté? Dans la mesure où elle n’avait pas revêtu son gilet jaune et qu’elle ne brandissait aucune pancarte revendicative, j’ai supposé qu’elle avait expiré pour de bon. Impossible de savoir si elle était morte d’épuisement ou si elle avait mis fin volontairement à ses jours. L’éventualité qu’elle fut contaminée par le coronavirus, car elle ne portait pas de masque, ne résistait pas à l’analyse puisque cette pauvre machine est équipée d’un moteur électrique qui ne respire pas contrairement au moteur atmosphérique.
Finalement, j’ai du me résoudre à l’idée qu’elle était morte de sa bête mort. Et cette fin dramatique digne d'une tragédie grecque antique m'évoqua un vers de Lamartine: “Objets inanimés avez-vous donc une âme qui s'attache à notre âme et la force d'aimer.?”
Mort d'une tondeuse
LA VIE DANS NOS CAMPAGNES
Sir, il y a bien longtemps qu'on ne vous avait plus vu avec un tel sourire.
...et la guerre, on la fait tout seul.
Un match de foot aujourd'hui, ça se joue à deux...
Avec la pandémie, de plus en plus d’événements se déroulent à huis clos. Oui clos.! C’est-à-dire portes fermées, sans spectateur et sans présence humaine. Mais est-ce vraiment dérangeant.?
Est-ce un problème dans un monde numérique en croissance exponentielle et dans un univers de réalité virtuelle augmentée qui nous propulse chaque jour un peu plus hors du réel.? C’est la logique intrinsèque d’un système en voie de déshumanisation où la présence physique n’est plus requise ni même souhaitée. Un match de foot dans cette réalité se joue à deux sur écran ou même tout seul alors qu’il nécessitait hier 22 joueurs, un arbitre, deux juges de ligne et des hordes de spectateurs déchaînés. Les jeux de guerre sont encore plus édifiants. Les batailles qui réunissaient jadis des milliers de participants dans la vie réelle n’ont plus aujourd’hui que deux pauvres adversaires esseulés, le logiciel et le combattant.
Faut-il se plaindre de cette dévitalisation du monde et de l’emprise de la machine sur nos vies et relations sociales.? La question mérite d’être posée mais elle en soulève une autre.: peut-on raisonnablement se reprocher les conséquences de quelque chose qu’on a voulu.?
Huis clos
TECHNOLOGIES
Les météorologues de tous poils ont fait leurs choux gras avec les records de températures atteints ces 14 et 15 septembre 2020 (plus de 30 degrés à Uccle). C’est facile d’impressionner les foules quand on fait métier d'avoir les yeux rivés sur le thermomètre.
A Li Monde, nous aimons mettre en évidence les phénomènes extrêmes non seulement d’un point de vue visuel mais aussi d’un point d’ouïe auditif. C’est ainsi que nous pouvons affirmer que, depuis que les relevés existent, c’est la première fois qu'on entend le carillon du marchand de glaces aussi tard dans la saison.
Et d’un point de vie économique cette constatation en vaut bien d’autres.
Des records, encore et encore
MÉTÉO
Avant hier et hier, ou Diana Rigg dans la saga “Game of Time”.
Dans notre grande et longue série “.La vie est belle, le monde est beau et il faut toujours rester positif.” que nous avions débouté avec Marie Laforêt en décembre 2019, nous consacrons, ce mois-ci notre séquence à Diana Rigg, l’immortelle et pimpante interprète des bottes de cuir d'Emma Peel au côté du chapeau melon de Patrick McNee en 1965. Elle vient en effet d’actionner le clap de fin après avoir aussi joué une James Bond girl en 1969 ainsi que le rôle crépusculaire d'Olenna Tyrell dans l’insupportable saga “.Games of Thrones.”. Sa disparition attendue comme toutes les autres et les photos ci-contre, nous rappellent que la vie n’est pas toujours belle, que le monde peut être moche et que le fait de rester positif en toutes circonstances est le symptôme d’un trouble obsessionnel sévère.
Clap de fin pour l'autre Diana
CINÉMA
Source: Le Soir
Le tableau de Sciensano et ses courbes inquiétantes au 21 septembre.
Depuis le début de la crise, les tableaux et les chifres de Sciensano sont d’un clair obscur remarquable laissant le champ libre aux interprétations multiples et contradictoires comme on les aime. Mais le 21 septembre, l'institut nous annonce que “le nombre de contaminations est deux fois plus élevé que durant la deuxième quinzaine d’août.” Voilà qui ne laisse plus aucun doute: la hausse des contaminations ne peut être due qu’à un événement intervenu entre le mois d’août et le mois de septembre. Le seul connu à ce jour est la fin des vacances qui sonne la rentré des classes et le retour au turbin des travailleurs. Il est donc évident que les vacances restent le meilleur remède pour enrayer l’épidémie, qu’on se le dise. Par ailleurs, rappelons qu’une hausse des contamination n'est pas synonyme d'une augmentation des décès car ce serait bien la première fois que les Belges se tuent au travail.
Sciensano ou l'art des tableaux
Source: Au féminin
Ce sac coûte un pont: 270.000 €, sans doute le prix de l'indécence.
L’expression bien connue qui dit que ça coûte un pont comme celui qu’on vient de reconstruire à Gênes pourrait bien trouver une concurrence redoutable dans le sac à main fabriqué par Hermes au prix de 270.000.€. Il est très étonnant que le montant de cet accessoire de mode ne gène personne à l’heure des déficits budgétaires abyssaux, de la crise  économique hors normes et de la paupérisation qui s’annonce pour une frange de plus en plus importante de la population mondiale.
Et on se pose naturellement la question: mais bon sang que fait Test Achats ?
Ça coûte un sac
MODE
© Photo: L'Echo
Jerome Powell, le président de la FED démasqué.
Cela fait plus de 6 mois que les conseils sanitaires attirent notre attention sur la bonne utilisation du masque bucco-nasal et sur le fait qu’il doit couvrir à la fois le nez et la bouche correctement pour être efficace.
La photo ci-contre nous montre Jerome Powell, le président de la FED (réserve fédérale américaine) portant son masque comme un cow-boy.
La sottise ne s’embarrasse pas de la fonction et cette image en dit plus sur le bonhomme que le titre ronflant du poste qu’il occupe. On peut aussi s’interroger sur l’efficacité de ce personnage s’il gère la masse monétaire de son pays comme son masque sanitaire.
L’argent ne fait pas le docteur
Ciel californien en septembre.
Ciel australien en janvier.
Nous avons eu un mois de septembre particulièrement chaud. Cela s’explique comme toujours par les mouvements de l’atmosphère, les vents et l’effet Coriolis. La planète étant une sphère autour de laquelle ces éléments sont à l’oeuvre, ils se sont conjugués pour nous faire profiter un peu des hausses de températures phénoménales induites par les incendies gigantesques qui ont ravagés la belle Californie.
Pour ceux qui ont la mémoire courte ou qui ne lirait pas Li Monde assidument, nous rappelons que les brasiers hors normes et hors de contrôle avaient déjà fait la une il y a six mois du côté de la belle Australie. Il est donc inutile de dire que les choses se répètent. Mêmes causes, mêmes punitions et il faut bien reconnaître que l’actualité que l’ont qualifiait hier de brûlante n’est plus aujourd’hui une simple métaphore.
Ce coup-ci, ça sent le roussi
CLIMAT
C'est fou les changements que le virus
nous impose mais dans les deux cas,
ça sent toujours un peu le sapin.
Plus qu’on ne le pense, le coronavirus a chamboulé nos comportements et les habitudes auxquelles nous étions bien accrochés depuis des lustres. Les bouleversements sont parfois stupéfiants comme le montre les deux photos de rétroviseurs prises à quelques mois d’intervalle...
Les grands bouleversements du Covid
SOCIÉTÉ
Résultat d’un confinement dépressif.
Conséquence d’un cluster festif.
Tout le monde connaît la sémiologie, cette science qui étudie les signes et dont les représentants les plus célèbres sont Ferdinand de Saussure pour le langage et Roland Barthes pour l’image.
Malgré la pertinence de leurs travaux, il est parfois difficile de déceler le sens précis des signes. Nos virologues et épidémiologistes super stars, qui sont également des sémiologues dans le registre médical, témoignent de cette difficulté par la divergence parfois sidérante de leurs points de vue.
Afin d'illustrer cette réalité, nous leur avons soumis la photo d'un pot rempli de bouchons et, pour certains, il s’agit du résultat d’un confinement dépressif alors que pour d'autres, c'est la conséquence d’un cluster festif…
Là, on comprend mieux qu'on ne sait plus sur quel pied danser ni ce qu'il faut penser.
De l’ambivalence des signes
SÉMIOLOGIE
L' INTERNATIONAL (.SAUVERA LE GENRE HUMAIN.)
ÉCONOMIE (.IL N'Y EN A PAS DE PETITE.)
L’impensable s’est donc produit le 30 septembre à l’heure où nous publions cet édition: nous avons un gouvernement. Mais cet événement quasi surnaturel ne changera rien à ce qui était écrit au soir du 29 et qui disait ceci:
“Nos politiciens n’ont plus aucune envie de former un gouvernement et de poser leur postérieur sur un siège ministériel à la tête de l’.Etat. L’acharnement qu’ils mettent à faire capoter les solutions, l'énergie qu’ils déploient depuis plus de 650 jours pour que rien n’aboutisse, nous aura au moins convaincu d'un fait.: ils ne sont plus candidats à l’exercice du pouvoir, tant il est vrai que lorsqu'on souhaite quelque chose on se démène pour l'obtenir. Voilà une vérité dont on se souviendra lors des prochaines élections. Encore faut-il que nous ne calquions pas notre attitude sur la leur, que nous ne refusions pas de faire notre job et que nous soyons encore disposés à nous rendre dans un bureau de vote.”
Il y en a au moins un qui est content...
POLITIQUE BELGE
Les indégivrables de septembre
Malgré des conditions météorologiques torrides de septembre, les indégivrables restent de glace et sont toujours bien vivants pour notre plus grand plaisir. C'est l'occasion de les féliciter ainsi que leur papa: Xavier Gorce.
Les vérités de septembre
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Ce n’est plus une surprise, le mois de septembre est un des plus tristes et des plus assassins des douze. Il signe toujours la fin des vacances et sonne la triste rentrée des classes. Avec lui, les perturbations atlantiques et les tempêtes automnales reprennent leurs migrations vers l’Europe, Europe qui, cette année, voit déferler une seconde vague, un tsunami d'infections virales. Alors qu’il est systématiquement coupable des premières feuilles mortes voilà qu’il souffle à nouveau le vent mauvais du Covid et les contaminés se ramassent à la pelle.
C’est bien simple, nous étions à deux doigts de faire l’impasse sur cette édition jugeant la réalité de septembre  trop sombre. Mais le sens journalistique et le devoir de l’information ont eu raison de notre penchant négatif et nous avons accompli notre mission, fort de cette vérité qui dit que c’est dans le malheur qu’on reconnaît ses ennuis.
Li Monde
Notre édito l' a déjà dit mais la vérité ne craint pas la répétition :
c'est dans le malheur qu'on reconnaît ses ennuis.
LES MOTS DE LA FIN
EDITO
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Octobre 2020