La rentrée 2020
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C’est la rentrée, mais la rentrée de quoi? puisqu’à peu de chose près, on était même pas sorti. Par contre, on était bien sorti de nos gonds avec tous ces éminents responsables et les autres qui ne le sont pas mais qui, tous, nous racontent à peu près n’importe quoi. On finirait par comprendre les réfractaires et les complotistes quand, même en haut lieu, les chiffres alimentent les controverses, qu’on change d’avis comme de chemise et que la raison s'égare. Le virus ne s’attaque pas qu’aux poumons, il contamine aussi les esprits indépendamment des genres ou des âges. Et la question se pose à tout individu encore vivant, “préfères-tu arrêter de respirer ou arrêter de penser?” Il semble que certains aient choisi la seconde solution.
C’est le problème devant lequel nous nous trouvons à la rentrée. Et c’est pour cela qu’il faut aller à l’école; pour apprendre à penser, toujours. Hélas, ce qu’on imprime dans les livres et dans les têtes, comme ce qu’on raconte dans les medias n’est jamais exempt d’affabulations et de manipulations diverses comme en témoigne Li Monde. Bref, il faut en plus que nous restions vigilants. Alors, bonne lecture attentive et bonne rentrée sur le qui vive.
Source: La Libre
(2) Source: RTBF
(1) Source: DH
La rentrée de 1956 par Robert Doisneau.
(1) Source: La libre
En voulant voler coûte que coûte, les compagnies se passent la corde au cou.
La consommation intempestive et la bêtise à l'origine du sabotage de la planète auront rarement trouver plus belle démonstration que dans le comportement des compagnies aériennes taïwanaises. Confrontées à l’effondrement du trafic aérien pour cause de virus, elles proposent des vols pour nulle part, juste des petits tours en l’air pour observer le paysage et continuer à fonctionner (1).
Certes, le spectacle de la nature en voie de disparition mérite d'être observé, mais, manifestement, ces compagnies n’ont rien compris au problème et à leur responsabilité, ni au fait qu’en agissant de la sorte, elles raccourcissent d’autant leur existence et celle des autres.
Et, ce n'est pas mieux chez nous où les états octroient aux compagnies des sommes astronomiques pour leur éviter la faillite. L’argent du contribuable n'est pas destiné à financer des entreprises polluantes surtout quand leurs activités concerne le simple plaisir touristique et que tout indique que l'aéronautique des années 2030 sera la sidérurgie des années 1980.
Suicid Air et compagnies
Une belle trombe d'eau comme au Bahamas mais à Coxyde.
A gauche des immortelles, à droite des coronavirus. Il y a un petit air de famille.
Ça manque cruellement de poètes dans les rangs de nos chers toubibs. Ecoutez plutôt: chikungunya, leishmaniose, lupus érythémateux, rectocolite hémorragique, spondylarthrite ankylosante, et tout dernièrement Covid-19,... Au secours.! Rien que les noms font peur alors qu’on pourrait adoucir les appréhensions au moyen d’une appellation plus agréable. Cela aiderait certainement et combattrait au moins la charge émotionnelle de la maladie. On pourrait, par exemple, donner de jolis noms aux consonances florales puisque 90% des maladies, comme les fleurs, sont du genre féminin. Pensons à l’angélique, l’anémone, la belladone, ou l’immortelle*,… On se sent déjà beaucoup mieux.
 
*NDLR. On peut sourire mais certaines maladies sont bien immortelles puisqu’on arrive pas à s’en débarrasser.
Playdoyer pour des maladies mieux nommées
MÉDECINE
On félicitera les autorités communales pour leur sens de l'humour, car à défaut d'être efficace, cette forme de communication est vraiment très drôle.
Les efforts déployés pour infantiliser le bon peuple ne s’arrête pas aux recommandations carnavalesques qui concernent le port du masque. Dès que les autorités tentent de communiquer avec les citoyens, on sombre dans le discours d'école maternelle ou le livre d'images. Que ne voit-on pas autour de nous pour conscientiser - si toutefois la chose est possible - la populace, un peu lasse, aux nécessités d’un recyclage plus propre ?
Au village, c’est à coup de bulles parlantes, sortes de phylactères en 3D, que la commune s’adresse à ses habitants. C’est à mourir de rire et de dérision quand la bulle verte nous assure qu’elle nous observe et que la bulle blanche, encore plus gendarmesque, nous menace d’une grosse amende...
Mais notre document est sans doute plus parlant que tous les discours.
Les bulles parlent aux nuls
LA VIE DANS NOS CAMPAGNES
C'est dingue, les conflits sont partout à commencer dans notre propre tête.
Virus affectant le vin et vin désinfectant le virus.
Il paraît que le vin français subit de plein fouet les conséquences du coronavirus. Comme les millésimes ont du mal à s’écouler, les autorités ont décidé que les invendus seraient dirigés vers les distilleries pour en faire des alcools de types pharmaceutiques et des gels désinfectants.
Ainsi donc, si le virus s’en est pris au vin, le vin à son tour s’en prendra au virus. Tout ça est de bonne guerre dans une logique œnologique qui pourrait aussi se traduire par “in virus veritas”.
C’est la guerre entre le vin et le virus
LOGIQUE ŒNOLOGIE
L' INTERNATIONAL (.SAUVERA LE GENRE HUMAIN.)
Source: RTBF
Le drapeau du grand marché européen, de la libre circulation des marchandises et des virus.
Il y a comme une impression de guerre froide en ce mois d’août 2020 pourtant torride. Une désagréable sensation se dégage des frontières qui se ferment au nez des vacanciers. Pour la première fois depuis 1940, des européens ne sont plus les bienvenus dans d’autres pays d’Europe. Le touriste ordinaire fait la triste expérience du migrant auquel on refuse l'accès au pays qu’il a choisi (1). Etre interdit de séjour pour cause de suspicion de maladie, de couleur de peau ou de religion, ça ne sent pas très bon et on se demande pourquoi nous avons créé l’Union Européenne. Est-ce uniquement pour son grand marché inique? Il est probable que oui, puisqu’aujourd’hui il n’y a plus que les marchandises et les virus qui peuvent y circuler librement.
 
(1) NDLR. L'ostracisme n’est pas l’apanage des nations, le 9 août, Knokke et Blankenberg interdisaient les touristes d’un jour. On revient au moyen âge quand les lépreux et des pestiférés étaient bannis des villes.
Europe, où es-tu ?
On connaissait déjà l'effet boule de neige. Nous apprenons à connaître l'effet boule de feu.
Il ne fait plus aucun doute que survivons dans un monde en réchauffement climatique et que cela est dû à nos activités et comportements. Les dernières canicules sont là pour nous le rappeler. Or, il est très étonnant que nous n’apprenions plus rien de nos expériences récentes. On nous annonce un réchauffement planétaire de X degrés dans 30 ans et on s’en moque comme de l’an quarante. Pourtant, voir le thermomètre grimper année après année ne peut pas nous laisser de glace. Et que nous ayons recours à la climatisation en ces périodes caniculaires de plus en plus fréquentes montre à quel point nous n’avons rien compris aux conséquences de nos actes. La climatisation utilisée dans nos habitations et nos voitures ne fait qu’augmenter la consommation d’énergie, les émissions de CO2 et le réchauffement final. C’est l’effet boule de neige qu’il conviendra d’appeler boule de feu.
 
NDLR. Cet entrefilet ridicule est né à la suite d’une observation infernale du quotidien, une de plus. Cela se passe sur le parking d’une grande surface que le soleil surchauffe et sur lequel un conducteur sénior patiente au volant de sa voiture. Je suppose qu’il attend sa moitié partie faire des courses dans le magasin mais je suis sûr qu’il fait tourner son moteur à l’arrêt pour bénéficier de la clim. J’ignore si ce fils de la société de consommation et donc père du réchauffement climatique a des petits enfants mais si c’est le cas, ce papi n’est pas un bon papi.
L’effet boule de feu
CLIMAT
On a parfois du mal a appréhender toutes les subtilités de la logique économique. Sans parler des grands systèmes devenus tout à fait abscons, les petites réalités du quotidien aussi peuvent nous surprendre. Ainsi en va-t-il du pain chez Delhaize où la baguette standard se vend à 69 cents et la demi baguette à 65 cents. Tout Homo Sapiens digne de ce nom et dont le comportement reste encore déterminé par le cerveau limbique portera inévitablement son choix sur la baguette entière à 69 cents même si la demi baguette suffit amplement à ses besoins. Le limbique est comme ça, pour lui, toujours plus, c’est toujours mieux. On lui pardonnera ce comportement issu de siècles de galère et de privation, mais il se fait que les temps changent et que les dégradations planétaires et climatiques lui sont grandement imputables. Car si la différence de prix entre les deux baguettes est insignifiante, la consommation d’énergie et de farine qui les caractérisent est autrement plus importante et fonction de réalités physiques incontournables. Or aujourd’hui, à l’image de cette miche de pain, l’économie dans son ensemble, avec sa croissance et son PIB délétères, ne fait toujours appel qu'à ce cerveau primaire.
 
Il y a cependant une lueur d'espoir, l’Homo Sapiens possède aussi le cortex, un bulbe circonvolutionné qui lui permet de réfléchir. Mais l’urgence lui demande d’activer cette partie de cervelle s’il ne veut pas perdre complètement la tête et tout le reste dans un avenir relativement proche.
Baguette, économie et cervelle
ÉCONOMIE (.IL N'Y EN A PAS DE PETITE.)
C'est fascinant, les hommes fabriquent indifféremment des cartouches d’armes et des doses de vaccins comme si c'était choux vert et vert choux.
Il semble que le vilain virus ait un effet bénéfique sur la maladie humaine qui consiste à se taper dessus. Depuis son apparition, les conflits armés sont en régression, en tous cas, on en parle plus (Yemen, Irak, Syrie,…). Il est vrai que les confinements ne favorisent pas les combats et les mouvements de troupes, sauf si celles-ci sont appelées à contrôler et surveiller les confinés, mais il s’agit alors de luttes internes. Et puis, peut-être que la course à l’armement à laissé la place à la course au vaccin pour un temps, bien sûr. Car pour continuer à faire joujou avec l’arsenal militaire et pour le rentabiliser, il faut s’assurer que des individus survivent à la pandémie et que les combats de toujours ne s’arrêtent pas faute de combattants.
Guerre et pandémie
SOCIÉTÉ
...Et c'est beaucoup plus respirable que le masque.
Y a-t-il eu une épidémie de coronavirus au 18ème siècle à l’époque de Marie-Antoinette? Tout le laisse à penser au vu de la mode et de la protection sociale en vigueur à l’époque qui permettait de maintenir ses congénères à une distance respectable et qu’on appelle la robe panier. Nous devrions peut-être nous inspirer de ce bel accessoire barrière inventé il y a trois siècles au cas où nous devrions faire face à une nouvelle vague de pénurie de masques. Mieux vaut prévenir que guérir avec les chiffonniers qui nous servent de gouvernants.
Le travail de confection est certes un peu plus conséquent que pour les masques en tissu mais la distance de sécurité est aussi beaucoup mieux respectée. En plus, il paraît que la couture revient à la mode aujourd’hui et que même les hommes s’y mettent. Alors, pourquoi ne pas occuper nos longues soirée d’hiver qui s’annoncent reconfinées avec ce beau passe-temps sanitaire?
La mode à l'heure de la distance sociale
MODE
Source 2: Sud Ouest
Source 1: Le Soir
Ça cartonne avec ces faux fans.
Le sport étant confiné et privé de ses spectateurs, le club de foot d’Ostende a décidé de remplir ses tribunes avec des figurines en carton!… C’est bien et on espère que des hauts parleurs avec des enregistrements sont prévus pour simuler les applaudissements et les vociférations habituelles. Qu’en est-il aussi des fumigènes qui d’habitude mettent le feu à l’ambiance et qui pourrait le bouter aux tribunes cette fois-ci? Le carton, qu’il soit jaune, rouge ou à l’effigie des spectateurs reste dans tous les cas, éminemment inflammable. Et au point où on en est pourquoi ne pas remplacer les joueurs par des petits soldats de plomb?
L'idée vient des allemands qui ont toujours une longueur d’avance et qui ont rempli le stade de Monchengladbach avec 13.000 spectateurs en carton le 21 mai dernier. Les fans pouvaient se faire imprimer à leur place au prix de 19 euros seulement. Alors, il est pas beau le marchandising, et elle est pas belle la marchandisation de l’individu?
Carton plein
SPORTS
En termes d'avertissement climatique, les éléments peuvent difficilement faire mieux. Jusqu'à présent, ils essayaient de communiquer avec nous en degrés celsius ou fahrenheit, mais ici, ils nous parlent dans la langue de Shakespeare. Que faut-il de plus pour que nous comprenions ?
Y-a-t-il un plus beau symbole que cette tour du World Trade Center en feu à Bruxelles le 6 août 2020, un jour de canicule ordinaire? La magie de cette image réside sans doute dans la banderole déjà en piteux état mais prémonitoire, apposée sur la façade du bâtiment et qui nous prévient: “.THE FUTURE IS HERE.”.
C’est beau comme un oiseau de mauvais augure, un présage de malheur, une prophétie infernale.
 
Mais, on se rappellera que, selon la formule d’Albert Einstein, Dieu ne joue pas au dés, ou, dit autrement, le hasard n’existe pas.
“The future is here”
FAIT D' ÉTÉ
Parmi les avantages de la 5G, des conteneurs bien remplis par des smartphones obsolètes qui se recyclent très mal.
(1) Source: J-M Jankovici
(1) Source: Le Soir
Les politiciens sont en voie de disparition laissant la place à une nouvelle espèce de dirigeants, les experts, ce qui sonne la fin de la démocratie représentative. Mais on sait depuis Paul Valéry que les systèmes et les civilisations comme les personnes ne vivent qu'un temps.
Fin juillet des tensions éclataient entre gouvernement et experts, ces derniers préconisaient une bulle plus stricte alors que le gouvernement n'en voulait pas (1). Mais devant l’insistance des scientifiques, la grande Sophie a fini par décréter la bulle de 5, en précisant bien qu'elle se conformait à l’avis des experts et qu’on ne pourrait rien lui reprocher au cas où l’épidémie viendrait à rebondir. Les scientifiques ont donc pris la main sur les politiciens et finissent en quelque sorte par faire la loi. C’est très intéressant car ce qui se passe avec l’urgence sanitaire aujourd’hui, sera inévitablement appelé à se répéter avec l’urgence climatique prévue pour demain. Et les experts ne sortant pas des urnes, cela signe aussi la fin de la démocratie représentative.
Corollairement, on peut raisonnablement penser que la fonction politique n’est plus un métier d’avenir.
 
NDLR. Notons qu'avec la détermination et la célérité qu'ils mettent à former un gouvernement, les politiciens ne font vraiment rien pour sauver leur peau.
Le politicien, une espèce en voie de disparition
POLITIQUE
... Il est sûr que les libertés vont en prendre un coup.
Source: Le Soir
La bagarre généralisée qui a éclaté sur la plage de Blankenberg le 8 août entre vacanciers et forces de l’ordre est une vraie leçon pour l'avenir.
Pour rappel, la mer montant avec la marée a réduit l’espace disponible et augmenté la concentration des plagistes, ce qui obligea la police a intervenir pour non respect des distances sanitaires en demandant aux intéressés d’évacuer les lieux. Quand on pense qu’un conflit peut éclater pour si peu, c’est-à-dire, quelques instants de plaisir abrégés pour raison de santé publique, on se demande ce qui se passera lorsque des populations entières seront chassées des zones côtières par des océans en crue et que, dans ce cas, il ne s’agira plus de vacances mais bien de survie. La bagarre aura fatalement une toute autre dimension.
Une belle bagarre et une vraie leçon
Sciensano, la vérité folle des chiffres et des êtres.
C’est bien connu, les chiffres parlent d’eux-mêmes ce qui veut dire qu’ils sont bien vivants contrairement aux victimes du coronavirus qui se sont tues pour l’éternité. Alors, chacun appréciera à sa manière la vérité chiffrée de l’épidémie publiée par Sciensano le 7 août  denier sur base de 100.000 habitants, et depuis 1 semaine (1):
Nombre de cas: 56,5
Hostpitalisations: 23,3
Morts: 2,6
Loin de nous l’idée de vouloir couper les cheveux en quatre mais c’est ce que fait Sciensano qui tronçonne les individus en rondelles. Car enfin, quelle est donc cette demi portion contaminée en plus des 56 comptabilisés ou ces 3 dixièmes de patient hospitalisé et les 6 dixièmes de mort qui s’ajoute à la paire décédée?
Le pompom surréaliste a lieu le 25 août lorsque Sciensano annule 121 décès de ses comptes macabres d'un coup de baguette épidémique (2). Evidemment, nous ne pouvons que souhaiter longue vie à ces heureux ressuscités d’entre les chiffres.
Sciensano: des chiffres et des êtres
VIROLOGIE
Les vacances 2020.
Des week-ends noirs sur les routes, des destinations caméléon passant du vert à l’orange puis au rouge, incitant des vacanciers à faire demi-tour ou à annuler leur séjour à l’étranger, ces vacances hautes en couleurs resteront dans les mémoires. Si on ajoute les formulaires à remplir à l’aller, les dépistages et les quarantaines à accomplir au retour, l’obligation de partir en congé est devenue une manie civilisationnelle d’un autre âge. Un plaisir qui se change en galère vaut-il vraiment le déplacement? Faut-il encore qu'il soit autorisé. Car il y a des pays que la Belgique interdit aux Belges et des pays qui ne veulent plus de Belges.
Quand on pense que le gouvernement avait tout organisé pour nous déconfiner et nous permettre de partir au soleil dès le 1er juillet. C’est un vrai flop, d’autant plus regrettable que la circulation des virulents vacanciers a relancé celle du virus, ce qui était prévisible.
Vacances 2020: les joies de la galère
TOURISME
…Et il y en a pour 10 heures. La canicule cause vraiment de gros dégâts dans le chef de certains…
Les indégivrables d'août
Malgré la canicule, les “Indégivrables” de Xavier Gorce, sont toujours là. Certes, ils sont un peu fêlés mais pas complètement fondus et gardent un regard glacial sur les réalités du monde.
Les canicules et sécheresses récurrentes n’ont pas dérogé à la tradition en ce mois d’août 2020. On notera avec intérêt que ce qui était exceptionnel il y a dix ans à peine, est aujourd’hui devenu la norme. Et avec la montée des températures des phénomènes inattendus apparaissent. Exemple, cette trombe d'eau longeant la côte belge le 3 août dernier, un phénomène familier aux Bahamas mais pas sous nos latitudes qui font connaissance avec le dérèglement climatique.
La chaleur trop élevée peut aussi induire des dérèglements synaptiques comme pour cet internaute dont les neurones ont certainement fondus provoquant un trouble comportemental sévère (voir la vidéo).
Canicules: les séquelles s'accumulent
MÉTÉO
Notions de base: la 5G est une technologie postérieure à la 4G utilisant des ondes plus courtes et plus puissantes dont voici les avantages majeurs:
 
1) Cette technologie requiert un réseau d’antennes beaucoup plus dense ce qui fera le bonheur des opérateurs télécom et de l’industrie métallurgique associée.
2) Comme elle nécessite 3 fois plus d’énergie (1), elle ravira tous les producteurs d’électricité et leurs fournisseurs en amont, principalement gasiers, pétroliers et atomiques.
3) La 5G plus rapide et plus réactive est indispensable au fonctionnement des voitures autonomes. Les constructeurs de ce type d’automobile l’attende de pied ferme pour faire des affaires qui roulent.
4) Les smartphones actuels sont inutilisables avec la 5G. Il est donc nécessaire d’acquérir un nouveau modèle pour en profiter, ce qui permettra aux géants du secteur de grandir encore un peu.
5) Pour l'instant des doutes subsistent mais il se pourrait que ses ondes produisent quelques ennuis de santé du côté du choux-fleur. C’est une aubaine pour les professionnels spécialisés dans la chirurgie du cerveau. Et ça tombe bien car la 5G est nécessaire pour que les meilleurs praticiens puissent opérer à distance.
 
Comme on le voit, il n’y a que des avantages à cette technologie branchée sur le PIB.
Les grands avantages de la 5G
TECHNOLOGIE
Li Monde
Aujourd’hui, tout indique qu’on devra manger son pain noir après son pain blanc,
mais il paraît qu’il est meilleur pour la santé.
LES MOTS DE LA FIN
EDITO
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Septembre 2020