On se souvient de "You’ve got mail" (Vous avez un message), cette comédie mielleuse de 1998 marquant les débuts du web et le boom de la messagerie électronique avec Tom Hanks et Meg Ryan.
"You‘ve got mule" en est le remake contemporain à l’ère de la réalité augmentée et de l’intelligence très artificielle. Toujours avec Tom Hanks et avec qui vous voulez.
On pourrait croire qu’à l’instar des séraphins, elles n’en ont pas, ou que, chez les mésanges, il n’y a qu’un sexe. Ne dit on pas: "tiens, voilà UNE mésange" et cela, quel que soit le genre observé.
Hé bien non! Comme le merle a sa merlette, la mésange a son mésdiable, sans quoi, on en verrait plus depuis belle lurette. Ce qui, vous l’aurez constaté, est effectivement le cas des anges.
Evidemment, c’est aussi une question de liberté et on sait où elle mène.
En ces temps de surpopulation croissante, sachant que le niveau des mers ne cesse aussi de monter, réduisant les espaces vitaux et viables pour l'engeance humaine avec subséquemment les conséquences effrayantes qu’on prévoit ou qu’on devine, une question philosophique voire même eschatologique vient tout naturellement à l’esprit: la fonction parentale est-elle encore pertinente?
Et pour pimenter la chose, c’est la première fois qu’une telle question se pose depuis la naissance de l’Homme.
La question à deux balles
C'est devenu une évidence, en matière de télévision, plus les écrans sont grands et gagnent en définition, plus les émissions deviennent stupides et perdent en contenu. A moins que ce ne soit l'inverse. C'est typique des media, et on connaissait déjà ce phénomène avec les magazines imprimés pour lesquelles la qualité des articles est inversément proportionnelle à la brillance des photos et au glacé du papier.
Cette réalité tient en une loi simple qui s’exprime par la formule: F x f = C, ou si on préfère, le produit du Fond et la forme est une Constante.
Et alors? me direz-vous. Oh, rien, sauf qu’aujourd’hui, on se dirige à la vitesse 5G vers les lunettes 3D et la réalité augmentée. Ça n’augure rien de bon pour " F ", ce pauvre contenu.
Statistiquement, dans la répartition des tâches ménagères, si les hommes veulent bien s'occuper de quelque chose, c'est de la cuisine. Pas de son nettoyage mais de l’aspect culinaire. Les fourneaux sont leur chasse gardée et ils y tiennent. On peut le comprendre; cuisiner est sans doute l’activité la moins rébarbative car elle permet d'exprimer un peu de créativité. Elle est aussi la plus gratifiante puisqu’elle offre du plaisir, de la convivialité et qu'elle récolte des compliments. C'est rarement le cas d'une chemise, fût-elle bien repassée.
En fait, la cuisine n’est pas une corvée ménagère. Il suffit de voir le monde de la gastronomie, la jouissance et l’aura des chefs coqs. Ils sont toqués, étoilés, reconnus mondialement et souvent multimillionnaires. Aucune femme de ménage n’est auréolée de la sorte et bénéficie d’un tel portefeuille. C'est dommage mais le fer à repasser et l’aspirateur n’arrivent pas à la cheville du poëlon ou du fouet. Et bien sûr, les hommes savent pourquoi.
L’Enfer du Nord est pavé de bonnes intentions mais cette année, il a fait une victime en fauchant le jeune coureur Michael Goolaerts qui perdit la vie à 23 ans. Et hélas, puisqu'il est tombé dans l'Enfer, il y a peu de chance qu'il gagne le paradis. Dur, dur le vélo.
Au vu du nombre d’articles et d’émissions télévisées consacrés à l'alimentation, et plus généralement aux préoccupations nutritionnelles, on se dit qu’il existe une volonté populaire visant une forme d’éternité ou presque.
C’est pourquoi, pour le bien-être de nos enfants qui vont être obligés de financer la retraite des vieux surnuméraires, et pour la santé de notre planète qui va devoir supporter l’ineptie surpopulationnaire qui en découle, Li Monde préconise de manger n’importe quoi et de boire jusqu’à plus soif. Bref, de renouer avec un comportement responsable, gage d’équilibre intergénérationnel.
Manger responsable et équilibré
C’est bizarre, les éoliennes ont parfois des comportements d’ouvriers communaux. L’autre jour à Sombreffe, il y en avait une qui travaillait et deux qui regardaient. Vous trouvez ça normal ?
C’est à se taper le cul par terre. Finalement, Karin Gerard, la magistrate présidente de cour d’assises, ne sera pas inculpée pour sa chute sur un trottoir en état d’ébriété (la magistrate, pas le trottoir), avec tentative d’escroquerie à l’assurance pour vol de bijoux.
Soit, on en fera pas un cas de figure, juste un casse-gueule. Mais comme on le voit, ça reste très laid de mentir.
Photo non photoshopée
Apparemment surpris par une enquête récente, un quotidien francophone titrait: "Consommation d’alcool: le Belge est champion du monde, loin devant le Polonais !" Mais quand on sait que les statistiques sont basées sur des volumes de ventes anonymes ignorant les nationalités, et quand on connaît le nombre de polonais qui viennent gagner leur pourboire dans notre pays, cette information n’a rien d’étonnant. Si désormais on peut dire "rond comme toute la Belgique", c’est grâce à nos amis Polonais.
En tout cas, nos Diables Rouges devront revoir leur slogan… We are Poland !
Etat d’ivresse, insulte raciale, outrage à agent, "L’ex-secrétaire d’Etat et écologiste Jean-Vincent Placé en garde à vue" (Le Monde). Il est vrai que le patronyme y prédestine un peu.
L’ex-ministre du logement et patronne des verts français, Cecile Duflot quitte la politique pour prendre la tête d’Oxfam France. Notre conseil: Cécile, fais quand même attention chez Xfam.
Hexagone: La vie des ex-verts
Nous avons eu le 18 mars le plus froid de l’histoire récente et le 8 avril le plus chaud de cette même histoire. Les excès semblent se succéder dans des laps de temps qui se raccourcissent. A quand le petit déjeuner sur l’herbe enneigée et le barbecue à midi ?
Ils vont y arriver. Je vous le dis, ils vont finir par la faire péter la planète. Avec leur escalade et leur regain de tension en Syrie. Mais bon! Il y a au moins trois problèmes que nous n’aurons plus. On peut continuer à se moquer des COP 22 et 23, le glyphosate reste en vente libre et on a plus à se préoccuper de la sortie du nucléaire pour 2025. C’est ça aussi, être positif en toute circonstance.
"Aimer, c’est tout donné" selon Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Et quand on like, on like.
Alors, il y a ceux qui postent leurs photos intimes sur Rinstagam et qui s’offusquent de les retrouver sur la place publique. C’est un peu comme aller à la messe en espérant passer inaperçu ou jouer à la loterie en pensant qu’on ne va rien perdre.
Même chose pour les utilisateurs de Fakebook qui semblent ignorer la signification des mots. Car, comme les termes l’indiquent, les données sont faites pour être données. Et donner ses données, les reprendre, c’est voler.
Evidemment, il y a Cambridge Analytica, une boîte de bas étage, qui se donne le nom et l’image d’une université de haut vol, dont l'administrateur et vice-président n’est autre que Steve Bannon, conseillé électoral de Donald Trump jusqu’en avril 2017. Et ça c'est moche.
Après Matthias Müller grand patron de VW, voici John Cryan CEO de la Deutsche Bank. Il touchait un salaire de 3,4 millions d’euros et vient d’être remercié avec un parachute doré de 9 millions. Il le mérite bien puisque pendant les trois années qu’il a passé à la tête de l’entreprise, celle-ci a connu trois années de pertes. Mieux, le cours de bourse du mastodonte allemand a chuté de 50% en deux ans.
On le voit, nos big boss sont rémunérés à leur juste prix et on ne doit plus les critiquer. Le seul regret qu’on pourrait avoir, c’est que le parachute ne soit que doré. En effet, s’il était en or et en avait le poids, la valeur eut, certes, été plus élevée mais le voleur ne s’en serait pas relevé.
John Cryan, l’autre Matthias Müller
La saga post-mortem et morbide apparaît de plus en plus comme un véritable enfer qu’aurait allumé le feu Johnny. Son testament est pire que ses chansons et le chanteur encore plus horripilant mort que vivant. La faute en revient aussi à la belle brochette de requins faisant office d’héritiers. Un chose est sûre, il n’a pas laissé l’amour en héritage.
Mais au fond de lui, Johnny sait qu’un jour la famille sera à nouveau (ré)unie. D’ailleurs, il semble dire à Laeticia "je t’attends, je t’attends,…"
Et quoi, qu’est-ce qu’elle a sa gueule? Si on a jamais su vraiment ce qu’elle avait, aujourd’hui, on peut se faire une petite idée.
Avec l'arrivée de Trump à la Maison Blanche, la diplomatie appartient à l’ère des dinosaures. C’est vrai pour les corps (diplomatiques) mais aussi pour le langage. Cela, nous le devons à deux phénomènes. D’abord Tweeter, le réseau par lequel il communique, y compris avec ses homologues planétaires, en passant par-dessus la têtes des diplomates. Et bien sûr le président lui-même et ses acolytes temporaires dont le verbe châtier ne cesse de nous ravir.
Exemple d'un tweet trumpien en réponse à l’attaque gazière de Bachar en Syrie: "Tiens-toi prête, Russie, car les missiles arrivent, beaux, nouveaux et intelligents! Vous ne devriez pas vous associer à un animal qui tue avec du gaz, qui tue son peuple et aime cela."
Et puis, le billet doux de l'ex-patron du FBI, qualifiant le porteur de moumoute de "menteur invétéré et de mafieux immoral".
Même au pire moment de la guerre froide, on était pas tombé si bas. Mais d’un autre côté, on ne peut plus parler de langue de bois.
La diplomatie, c’est pour les diplodocus
Mais que se passe-t-il dans patrie de Voltaire et de Mauras, de Moulin et de Pétain, de Brassens et de Sardou? Partout, on fait grève sur l’Etat: la SNCF, Air France, les éboueurs, les enseignants… Il n’y a que les CRS qui bossent comme des malades à Notre-Dames-des-Landes, non loin des célèbres prisons de Nantes. Une précision géographique bien nécessaire dans ce foutoir indescriptible.
Mais que se passe-t-il en France, en général, aux alentours du mois de mai?
Nous voilà déjà au mois de mai, ce mois si joli où l’on peut faire ce qui nous plaît: dépaver les rues, monter aux barricades, faire la grasse mat le 1er, offrir du muguet à maman, etc… Oh oh, doucement camarade! il nous faut d’abord découvrir le fil d’avril...