Même si nous n’avons rien compris à la crise qui a secoué le pays début décembre, nous ne pouvons rester insensibles aux conséquences désastreuses et au désenchantement qui ont suivi. Le pacte sur les migrations impacta non seulement notre gouvernement mais aussi les pérégrinations de notre pauvre premier ministre.
Dire qu’il aurait pu se rendre à Marrakech avec une Suédoise… Et finalement, il s’est retrouvé là-bas avec une banale orange bleue. C’est bien triste.
Le pacte sur les migrations et son impact insoupçonné