* On les appelle les Ginks, pour Green Inclined, No Kids.
Une “happy end“ écologique et sympathique si on aime le jardinage.
Début novembre, fête des morts oblige, un article de La Libre nous apprenait que la crémation est loin d’être écologiquement neutre et qu’elle a de réelles conséquences environnementales. Pour faire court, ça coûte 883 kg de CO2 par personne. Une petite tonne quand même.
Oui mais flûte à la fin! Ça commence à devenir infernal. On nous reproche de polluer de notre vivant, et voilà que ça continue en passant ad patrès. Que nous reste-t-il comme solution, à nous pauvres mortels? Vivre plus vieux? c’est de la pollution en plus. Ne plus mourir, c’est une pollution infinie. C’est un vrai cercle vicié.
Finalement, les Ginks*, ces femmes qui décident de renoncer à la maternité par souci écologique ont peut-être raison. Mais si le mouvement prend de l’ampleur, ce ne sera que pour un certain temps, avant qu’il ne s’éteigne de sa belle mort. Et il n’y aura plus personne pour attester du bien-fondé de la chose.
NDLR. Nous apprenons sur le tas de feuilles mortes et toujours par La Libre qui semble sponsorisée par Thanatos, qu’une nouvelle technique mortuaire pourrait satisfaire la cause écologique, c’est humusation. En gros c’est l’option compost. Alors, si vous voulez vous humuser un peu, lisez donc l'article ci-dessous qui vous changera des réflexions absconses de Li Monde. Et peut-être qu’enfin, vous trouverez une lueur d’espoir, un terreau d’optimisme…
L’humusation: la mort à la mode
Source: La Libre, Moustique